François Hollande
- Société
- Procès de l’attentat de Nice
L’ancien chef de l’Etat, en fonctions lors de l’attentat de Nice, le 14 juillet 2016, a témoigné lundi à la barre de la cour d’assises spéciale de Paris, tout comme son ex-ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve.
Près d’un an après avoir témoigné au procès des attentats du 13 novembre 2015, l’ancien président de la République François Hollande (2012-2017) était appelé à témoigner lundi 10 octobre devant la cour d’assises spéciale de Paris dans le cadre du procès de l’attentat de Nice. Il a assuré qu’« il n’y a pas eu de relâchement » dans la stratégie de l’Etat de lutte contre la menace terroriste, avant l’attaque survenue le 14 juillet 2016.
Lors de la fête nationale, cette année-là, un assaillant au volant d’un camion de 19 tonnes avait volontairement pris pour cible la foule rassemblée sur la promenade des Anglais pour le traditionnel feu d’artifice, tuant 86 personnes et faisant plus de 450 blessés. Le procès de l’attentat a été ouvert le 5 septembre.
Alors que plusieurs avocats de parties civiles ont interrogé lundi l’ex-chef de l’Etat sur un éventuel relâchement de la vigilance sécuritaire de l’Etat après l’Euro 2016 de football, qui venait de s’achever, le 10 juillet, M. Hollande a assuré que « toutes les forces sur le terrain ont été maintenues » et les consignes de vigilance aux communes réitérées à l’occasion des festivités du 14-Juillet.
François Hollande « Toutes les forces sur le terrain » et les « consignes » maintenues
« Le 11 juillet 2016, l’ensemble de
…. à suivre
>>> Lire la suite de l’article>>>
Copyright for syndicated content belongs to the linked Source : Le Monde – https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/10/10/au-proces-de-l-attentat-de-nice-francois-hollande-affirme-qu-il-n-y-a-pas-eu-de-relachement-dans-la-lutte-contre-la-menace-terroriste_6145235_3224.html