Emmanuel Macron

Live terminé
Le chef de l’Etat s’exprimait devant les parlementaires de la majorité, mardi soir. Des affrontements entre la police et certains manifestants ont éclaté place de la République à Paris dans la soirée, en marge du rassemblement qui s’est tenu à l’appel de l’intersyndicale.
Emmanuel Macron Ce direct prend fin
Un nouveau live consacré à la réforme des retraites sera ouvert ce mercredi matin.
En attendant, vous pouvez retrouver les événements importants de la journée – la mobilisation à travers la France et les déclarations d’Emmanuel Macron notamment – dans cet article.
Emmanuel Macron A Paris, quarante-six interpellations
D’après un bilan policier donné peu avant minuit, 46 personnes ont été interpellées à Paris.
Emmanuel Macron Un défilé aux flambeaux à Grenoble
A Grenoble, près de 5 000 personnes ont participé à partir de 19 heures à un défilé aux flambeaux dans les rues de la ville, selon la préfecture de l’Isère. Vers 21 h 30, les autorités n’avaient pas constaté « d’incidents notables ».
Emmanuel Macron Vingt-sept interpellations à Paris, selon le ministère de l’intérieur
Emmanuel Macron Echauffourées entre jeunes manifestants et policiers à Lille
Des échauffourées ont opposé ce soir la police à quelque 250 jeunes, qui ont notamment brûlé quelques poubelles et brièvement perturbé le festival Series Mania, à l’issue d’une manifestation contre la réforme des retraites.
Rassemblés à partir de 18 heures, environ 900 manifestants – selon la préfecture – ont d’abord défilé entre la place de la République et le quartier de Wazemmes, au sud de la ville, avant d’être bloqués par les forces de l’ordre et contraints de revenir vers leur point de départ, a constaté une journaliste de l’Agence France-Presse (AFP).
« Grèves, blocages, manifs sauvages ! », scandaient les manifestants, en grande majorité étudiants et lycéens, accompagnés notamment de syndicalistes de la CGT et de SUD. Le cortège s’est dispersé dans le calme aux alentours de 20 heures.
Environ 250 personnes, « surtout des jeunes » ont ensuite « sillonné le centre-ville, allant à droite et à gauche », a déclaré à l’AFP une source policière. « C’est la première soirée ou des groupes jouent au chat et à la souris en ville, en tentant de désorienter les forces de l’ordre », a poursuivi cette source.
Ces manifestants ont renversé et incendié quelques poubelles près de la Grand Place, ou utilisé des projectiles contre les policiers, comme des canettes ou pavés, a-t-elle précisé, faisant état de « deux blessés légers » parmi les forces de l’ordre.
Aux alentours de 21 heures, quelques dizaines de manifestants ont tenté de faire irruption sur le tapis rouge du festival Series Mania, criant notamment des slogans anti-Macron, mais ont été rapidement repoussés par une charge policière, a constaté une journaliste de l’AFP. Selon plusieurs témoins sur place, les manifestants ont tenté de soulever les barrières de sécurité et perturbé le show, alors que l’actrice américaine Marcia Cross venait de défiler sur le tapis rouge. Après leur départ, des morceaux de verre jonchaient le sol. Une jeune femme a été blessée au visage et prise en charge par les pompiers, a constaté l’AFP.
Vers 22 heures, le calme était revenu, selon la source policière interrogée, qui ne faisait pas état dans l’immédiat d’interpellations ou dégâts majeurs.
Emmanuel Macron Emmanuel Macron « a mis le feu et fermé toutes les issues », déclare Jean-Luc Mélenchon
En meeting à Ax-les-Thermes (Ariège) ce mardi soir, Jean-Luc Mélenchon a ciblé la responsabilité d’Emmanuel Macron dans l’approfondissement de la crise.
« Cet homme a mis le feu et fermé toutes les issues : élire des députés d’opposition ne servirait à rien puisqu’il y a le 49.3 ; faire la grève, il s’en fout il y a les réquisitions ; aller en manifestation à quoi ça sert, on vous met en cabane le soir », a déclaré, devant quelques centaines de personnes, l’ancien candidat La France insoumise à la présidentielle.
Après l’utilisation de l’article 49.3 jeudi dernier et l’échec pour seulement neuf voix de la motion de censure hier, M. Mélenchon a estimé que c’est « une défaite qu’un texte de cette importance passe de force ».
Il a appelé le chef de l’Etat à utiliser l’article 10 de la Constitution permettant de refaire voter le parlement avant de promulguer un texte. Mais selon lui, le salut des opposants à la réforme viendra de la « censure populaire », demandant de manifester à l’appel de l’intersyndicale jeudi :
Le 23 mars celui qui reste chez lui au lieu d’être dans la rue, on ne lui parle plus. Ce sera comme le 7 mars : un tournant dans l’histoire du pays. Si vous le faites, ça va le faire.
« Une page de l’histoire de France est en train de s’écrire et nous en sommes les auteurs, nous les têtes dures, les résistants », a insisté M. Mélenchon. Il a répondu au président, à qui Le Figaro a prêté des propos critiquant le rôle de l’insoumis dans la crise actuelle : « Ce type est hors sol, il croit vraiment que c’est une affaire personnelle ? »
« Nous avons fait ce qu’il fallait pour que ce texte n’ait pas de légitimité parlementaire, et ceux qui ont gagné, c’est nous », a assuré Jean-Luc Mélenchon.



Emmanuel Macron A Paris, 3 500 manifestants place de la République et onze interpellations, selon le ministère de l’intérieur
Emmanuel Macron Trois cents manifestants au Mans et une sculpture enflammée représentant le « 49.3 »
Dans la préfecture de la Sarthe, environ trois cents manifestants se sont réunis autour d’une « sculpture de feu » représentant « 49.3 », en référence à l’article de la Constitution utilisé par le gouvernement pour faire passer la réforme des retraites sans le vote de l’Assemblée nationale.


Emmanuel Macron Réquisitions de stations-service dans les Bouches-du-Rhône
Face à l’aggravation des tensions d’approvisionnement en essence dans les Bouches-du-Rhône, onze stations-service du département seront réquisitionnées entre demain et vendredi, pour assurer exclusivement le ravitaillement de certains véhicules « prioritaires », a annoncé la préfecture de police. Parmi les professions prioritaires listées figurent notamment les véhicules des professionnels de santé, de secours, d’opérateurs funéraires, de taxis conventionnés CPAM, de transports routiers de marchandises, de transport collectif de voyageurs ou encore de services de portage de repas à domicile.
La préfecture de police du département a justifié son arrêté en expliquant que « les Bouches-du-Rhône connaissent une forte et rapide dégradation des ruptures en stations », 54 % d’entre elles manquant d’un type de carburant (essence ou diesel). Ce matin, le gouvernement avait annoncé de premières réquisitions de personnels pétroliers depuis le début des grèves contre la réforme des retraites, au dépôt de Fos-sur-Mer près de Marseille, une décision qui a suscité des tensions dans un contexte politique inflammable.
Emmanuel Macron A Paris, la place de la République se vide, mais des tensions demeurent
Un abcès est toujours concentré à l’entrée de la rue du Faubourg-du-Temple, tandis que la place se vide peu à peu. Les forces de l’ordre chargent et font reculer, un temps, les manifestants qui avancent ensuite à nouveau en hurlant « Cassez-vous ».
Tous les accès à la place, désertée depui
…. à suivre
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