Marine Le Pen

Le President russe Vladimir Putin et Marine Le Pen, alors présidente du RN
Marine Le Pen s’est défendue mercredi à l’Assemblée nationale de tout « tropisme russe », assurant qu’elle n’aurait jamais signé le prêt contracté en Russie par son parti si cela l’avait engagée à « quoi que ce soit » avec Vladimir Poutine.
L’ancienne présidente du Rassemblement national (RN) a été entendue pendant près de quatre heures par la commission d’enquête parlementaire sur les ingérences étrangères.
Au centre des discussions, un prêt de 9,4 millions d’euros contracté auprès d’une banque tchéco-russe en 2014 par l’ex-FN, alors dirigé par Marine Le Pen.
A-t-il donné lieu à des pressions ou des contreparties politiques? « Si cela m’avait engagée à quoi que ce soit, je n’aurais pas signé », a affirmé la cheffe de file du RN, jurant n’avoir « rien à (se) reprocher dans cette affaire » et faisant état d’un prêt « parfaitement légal, parfaitement vérifié ».
Elle a assuré que, si elle est élue en 2027, elle interdira aux formations politiques les prêts étrangers. Elle a aussi promis la création d’une « banque de la démocratie » pour aider les partis à notamment financer leurs campagnes électorales, une idée récurrente y compris dans la majorité mais à laquelle Emmanuel Macron n’a jamais donné suite.
La triple candidate malheureuse à la présidentielle s’est attardée sur la situation financière critique à laquelle son parti faisait face à l’époque, autant que sur ses difficultés à trouver un créancier européen.
« Si cela m’avait engagée à quoi que ce soit, je n’aurais pas signé ». MLP
Début mai, devant la même
…. à suivre
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