Les représentants des magistrats ont répondu à Frédéric Veaux, directeur général de la Police nationale, qui souhaite que le policier de la BAC de Marseille incarcéré dans le cadre d’une enquête sur les violences policières soit libéré. Emmanuel Macron a botté en touche mais les politiques s’en mêlent et des policiers se mettent en arrêt maladie.
« Nul en République n’est au-dessus de la loi » : depuis Nouméa, lundi, Emmanuel Macron n’a pu éviter le sujet brûlant du jour, le placement en détention provisoire, jeudi 20 juillet, d’un policier de Marseille soupçonné de violences sur un jeune homme lors des émeutes consécutives au décès de Nahel M., tué par un policier lors d’un contrôle routier le 27 juin.
« Le savoir en prison m’empêche de dormir », s’est ému dimanche Frédéric Veaux, directeur général de la Police nationale, dans une interview au Parisien.
Les policiers des Bouches-du-Rhône ont entamé une “grève du zèle” et les arrêts de travail se multipliaient lundi, en soutien à leur collègue, fonctionnaire de la BAC (Brigade anti-criminalité), mis en examen, avec trois confrères.
« Avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail », estime Frédéric Veaux, soutenu par le
…. à suivre
>>> Lire la suite de l’article>>>
Copyright for syndicated content belongs to the linked Source : Midi Libre – https://www.midilibre.fr/2023/07/25/policier-marseillais-incarcere-police-magistrature-politiques-pourquoi-la-polemique-enfle-11359795.php