Emmanuel Macron

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Sans préciser quels niveaux scolaires pourraient être concernés ni la rentrée à compter de laquelle ce changement serait effectif, le chef de l’Etat propose un temps de « rattrapage », considérant qu’« il y a trop de vacances et des journées trop chargées ».
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Emmanuel Macron Emmanuel Macron confirme qu’il réunira les « principaux responsables politiques » la « semaine prochaine »
Dans un entretien au Point, Emmanuel Macron confirme qu’il réunira les « principaux responsables politiques de notre pays » à La Celle-Saint-Cloud « dès la semaine prochaine ». Le chef de l’Etat justifie ce rendez-vous dans les Yvelines, auquel sont conviées « les forces politiques représentées de nos assemblées », par le « moment inédit » traversé par le pays, confronté aux « grands bouleversements géopolitiques, climatiques, technologiques » et menacé par des « risques de division ».
« Sortiront de ces travaux des décisions immédiates, des projets et propositions de lois, mais aussi des projets de référendums », anticipe le président de la République. Concernant les domaines qu’il compte aborder, Emmanuel Macron ouvre la porte à tout texte susceptible de « renforcer l’indépendance de notre pays et [de] rebâtir notre nation et tout ce qui la tient : la famille, l’école, le service national universel, la transmission de notre culture, notre langue, la régulation des écrans. Mais aussi notre organisation et nos institutions dans tous les territoires. »
Emmanuel Macron Projet de loi immigration : Emmanuel Macron ne s’interdit par le recours au 49.3
Plusieurs fois reporté, à défaut notamment de majorité stable, le projet de loi immigration fait son retour à la rentrée. Dans son entretien au Point, Emmanuel Macron confirme qu’il chargera le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, d’« échanger avec toutes les forces d’opposition qui vont dans ce même sens et [de] construire un projet le plus efficace possible ». Si le chef de l’Etat se dit prêt à accepter d’« enrichir le texte du gouvernement », après discussions avec l’opposition, il prévient que les « instruments de la Constitution » pourraient être mobilisés si aucune majorité ne se dégageait au Parlement. « Nous avons besoin de résultats et donc si un tel texte était bloqué, il ne faut rien s’interdire », assume-t-il, interrogé sur un possible recours au 49.3.
Questionné plus loin sur les difficultés rencontrées depuis un an par son gouvernement pour dégager des majorités, il en fait porter la responsabilité aux divisions parmi les oppositions. A gauche, avec des « socialistes divisés entre ceux qui ont choisi de s’inféoder à l’extrême gauche à travers la Nupes et ceux qui n’y croient pas ». Comme à droite, où Les Républicains (LR) sont « tiraillés entre des LR proches de la majorité présidentielle, qui d’ailleurs auraient voté la réforme des retraites, et ceux qui sont sur une autre logique, dans des circonscriptions où ils ont gagné à quelques centaines de voix face au RN, et qui sont plus proches de l’alliance des droites ».
Emmanuel Macron Derrière les émeutes, Macron voit une « volonté de vengeance contre l’Etat »
Dans l’entretien donné au Point, Emmanuel Macron livre son « analyse » des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel M., tué par un tir policier, le 27 juin à Nanterre. Dans ces violences commises par « quelques milliers de jeunes », le chef de l’Etat voit une « volonté de vengeance contre les forces de police, l’Etat, et tout ce qu’il représentait ». Et décrit une « relation qui n’est pas réglée entre une partie de la jeunesse et l’autorité, en particulier les forces de l’ordre ». Parlant d’un « problème d’intégration », le président use de nouveau du terme de « décivilisation », un « processus » qu’il avait déjà évoqué en mai. « J’ai parlé de décivilisation il y a quelques mois. C’est bien cela que nous avons vu. Il faut donc s’atteler à reciviliser », martèle-t-il.
Concernant le traitement des émeutes, « quelques jours au début de l’été, contre trois semaines en 2005 », Emmanuel Macron se targue d’avoir été « intraitable ». « Nous avons été implacables », se félicite-t-il, rapportant 4 000 interpellations suivies de 1 000 comparutions immédiates. Au-delà des événements des derniers mois, M. Macron, accusé par la droite et l’extrême droite de manquer d’autorité, soutient qu’il a « reconstitué du muscle régalien », rappelant notamment les « 10 000 postes de sécurité intérieure » créés depuis 2017. « J’ajoute qu’il n’y a jamais eu autant de détenus en France, alors qu’on ne dise pas que la justice est laxiste ! »
Emmanuel Macron Pour Emmanuel Macron, Vladimir Poutine « nourrit le désordre du monde »
Dans son entretien au Point, mis en ligne mercredi soir, Emmanuel Macron dit souhaiter « que la contre-offensive des Ukrainiens puisse ramener tout le monde autour de la table des négociations ». « Une bonne négociation sera celle que les Ukrainiens voudront », poursuit le président de la République. Concernant Vladimir Poutine, le chef de l’Etat lui reproche d’avoir « fait une rupture profonde en choisissant de ne plus respecter les accords internationaux ».
« Je lui reparlerai quand ce sera utile », prend tout de même soin d’ajouter Emmanuel Macron, même si son homologue russe « nourrit le désordre du monde », « tout en étant membre du Conseil de sécurité de l’ONU ». « C’est un choix profond », cingle-t-il. Au sujet des propos de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, qui a estimé dans un entretien accordé au Figaro que l’avenir de la France était lié à celui de la Russie, M. Macron rétorque que c’est « à la Russie de définir quelle partenaire elle veut être ».
Emmanuel Macron Selon Emmanuel Macron, les interventions françaises au Sahel « ont été des succès »
Emmanuel Macron a estimé, dans un entretien au Point, que les interventions militaires françaises au Sahel « ont été des succès », malgré la détérioration des relations avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Le chef de l’Etat a également de nouveau appelé à la « restauration de l’ordre constitutionnel » au Niger et à la libération du président Mohamed Bazoum, renversé le 26 juillet par des militaires. « Ce coup d’Etat est un coup contre la démocratie au Niger, contre le peuple nigérien et contre la lutte antiterroriste », a-t-il dénoncé.
Le 3 août, les militaires qui ont renversé M. Bazoum ont dénoncé une série d’accords militaires avec la France, dont 1 500 soldats sont toujours déployés au Niger pour la lutte antidjihadiste. Mais cette révocation n’est pas reconnue par Paris. « Si l’on prend de la hauteur, la France a eu raison de s’engager aux côtés d’Etats africains pour lutter contre le terrorisme. C’est son honneur et sa responsabilité. Si nous ne nous étions pas engagés, avec les opérations Serval puis Barkhane, il n’y aurait, sans doute, plus de Mali, plus de Burkina Faso, je ne suis même pas sûr qu’il y aurait encore le Niger », a déclaré le président français dans les colonnes de l’hebdomadaire.
Emmanuel Macron Bac : Macron estime qu’« on ne peut pas avoir des épreuves si tôt dans l’année » et veut des « ajustements »
Emmanuel Macron estime que les épreuves du baccalauréat, qui ont démarré pour la première fois en 2023 dès le mois de mars, ne peuvent pas se tenir « si tôt dans l’année », dans un entretien au Point publié mercredi en fin d’après-midi. « Le ministre [de l’éducation nationale], dans les prochains jours, annoncera les ajustements que nous déciderons sur ce sujet », a-t-il ajouté. Des aménagements du calendrier de la nouvelle formule du baccalauréat sont attendus depuis plusieurs semaines, après de nombreuses critiques de la part des syndicats et des parents d’élèves.
Emmanuel Macron Ecole : Emmanuel Macron veut avancer la rentrée au 20 août pour les élèves en difficulté
Considérant qu’« il y a trop de vacances et des journées trop chargées », Emmanuel Macron annonce dans son entretien au Point vouloir que la rentrée scolaire se tienne « dès le 20 août » pour « les élèves qu’on aura évalués et qui en ont besoin ». Sans préciser quels niveaux scolaires pourraient être concernés, ni la rentrée à compter de laquelle ce changement serait effectif, le chef de l’Etat compte en faire un temps de « rattrapage ».
Cette déclaration est faite quelques mois après de premières annonces du président de la République sur le « temps de présence à l’école », en vue de réduire les inégalités sociales et scolaires. En juin dernier, il avait ainsi promis l’ouverture des collèges de 8 heures à 18 heures ou l’accueil des enfants dès 2 ans en éducation prioritaire.
Emmanuel Macron Sénatoriales en septembre : les enjeux d’un scrutin où Les Républicains sont les grands favoris
Pour le Sénat, qui évolue sous la domination de la droite depuis le début de la Ve République – à l’exception d’une parenthèse socialiste de trois ans entre 2011 et 2014 –, les élections prévues dimanche 24 septembre ne bouleverseront probablement pas les grands équilibres. Si la chambre sera renouvelée de moitié comme tous les trois ans, l’issue du scrutin sénatorial ne fait guère de doute : Les Républicains (LR), avec leurs alliés centristes, conserveront sans doute la majorité absolu
…. à suivre
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